comment faire de la facilitation graphique

Le scribing, comment ça marche ?

(or how to scribe ?)

 

L’homme est un animal très visuel.
95% de nos rapports au monde passe par la vue.

Imaginez que nous vivions dans un monde ou tout passait par le geste? Tout serait si différent…

Depuis toujours, le dessin, les symboles se passent de mots et leur puissance entraine mémorisation, assimilation et sentiment d’appartenance.

 

histoire du scribing
masques et scribing

Le scribe est avant tout un facilitateur. 

Il maintient concentration et posture d’écoute, à la fois proche et large, tout au long de la session.

Afin de capter ce qui est dit, pensé, ressenti ou parfois oublié.

Il fait remonter l’info, dévoile le cheminement des pensées, le tout en temps réel. Il montre ou révèle les systèmes, dénoue nœuds et tensions avec un peu d’humour. 

Empathie, questionnements et neutralité sont de mesures pour savoir quoi et à quel moment le dessiner.
Le but du jeu n »est pas de dessiner tout ce que l’on entend, mais d’aider à rendre visible l’intangible. 

Plus pratiquement :
Lors de débats, exposés, ateliers, je capture les échanges en direct sur des grands panneaux. Associant dessins, émotions, messages clefs et mise en relation des idées, la fresque exprime la richesse des idées et des interactions.

En amont : Au cours d’un brief, nous prenant le temps d’organiser et réfléchir ensemble à la portée des visuels  et comment ils peuvent faciliter votre session.

Sur place : Scribing, facilitation graphique, interviews pour enrichir la fresque, portraits. Possibilité de synthèse orale en fin de session.

Postprod possible : Print, digitalisation, extraction, modélisation, animation.

comment ça marche ?
bloc blanc